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Le gestionnaire de fortune se charge de conseiller et d'accompagner ses clients dans leur gestion patrimoniale. Travaillant en indépendant ou au sein d'une structure spécialisée, cet expert des marchés financiers et de la fiscalité exerce au contact de particuliers détenteurs d'un patrimoine élevé. Aussi fin consultant que chargé de clientèle dévoué, le gestionnaire de fortune occupe un poste exigeant requérant une formation poussée.
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Le rôle dévolu au gestionnaire de fortune se rapproche de celui du conseiller en gestion de patrimoine, qui se charge de la gestion patrimoniale d'un portefeuille clients. À la différence du CGP, toutefois, le gestionnaire de fortune se dévoue au suivi des patrimoines les plus importants. Qu'il s'agisse de biens immobiliers, de patrimoine financier ou professionnel, ses clients justifient d'une fortune de plusieurs millions d'euros. Parfois même, celui qu'on appelle aussi le family officer se met au service d'un seul client milliardaire. Le gestionnaire de fortune se consacre alors à faire fructifier le patrimoine de sa clientèle. Il se charge d'apporter un conseil personnalisé, conforme aux objectifs fixés par ses clients. En parallèle, cet expert financier de l'ombre peut intervenir en matière de fiscalité comme de gestion contractuelle.
Le rôle premier du gestionnaire de fortune est de faire croître les revenus de sa clientèle. Il doit alors appréhender la situation personnelle de chaque client pour mieux identifier des solutions adaptées à ses besoins. Dans un premier temps, le gestionnaire de fortune établit donc un bilan fiscal. Pour ce faire, il dresse l'état des lieux du patrimoine immobilier, des liquidités disponibles et des placements en cours de son client, sans oublier ses rentrées financières.
Il lui revient ensuite de délimiter un certain nombre d'objectifs, de même que le niveau de protection et de performance souhaité. Son client peut ainsi vouloir diversifier ses revenus comme envisager une prévoyance retraite ou encore sécuriser l'avenir financier de ses héritiers.
Une fois les objectifs fixés, le gestionnaire de fortune enclenche une phase de préconisations. Il recommande les actions et placements les plus judicieux, sans manquer de mentionner les risques et contraintes juridiques associés. Selon la situation patrimoniale de son client, il est ainsi susceptible de recommander une stratégie d'optimisation fiscale à l'étranger. Auquel cas, c'est au gestionnaire qu'il incombe d'enclencher les démarches nécessaires.
Le gestionnaire de fortune se doit d'effectuer une veille permanente. Il surveille bien sûr les fluctuations des cours des marchés et se tient au courant des actualités économiques via la presse spécialisée. Son expertise en gestion d'actifs impose également une connaissance approfondie des réglementations fiscales et immobilières, dont les évolutions le poussent à proposer des ajustements et arbitrages à sa clientèle.
Le gestionnaire de fortune maîtrise tous les tenants d'une opération financière, a fortiori d'envergure. Son expertise économique s'assortit alors de compétences opérationnelles en matière d'immobilier, comme d'un solide bagage juridique et fiscal. Par ailleurs, il sollicite régulièrement le conseil de confrères (notaires, experts-comptables, spécialistes de l'expatriation ou du marché de l'art, etc.).
Gérer un portefeuille de clients fortunés requiert de la rigueur et des capacités analytiques, ainsi qu'une forte résistance au stress pour faire face à des enjeux financiers élevés. La dimension relationnelle du métier suppose également un sens de l'écoute éprouvé. Aussi diplomate qu'empathique, le gestionnaire de fortune ne compte pas ses heures. Il fait montre d'autant de pédagogie au moment de vulgariser du jargon et des concepts techniques auprès de ses clients.
Les futurs cadres de la gestion de fortune sont généralement issus de filières de niveau bac+5, tels un master en gestion de patrimoine ou encore un diplôme supérieur de comptabilité et de gestion (DSCG). Au préalable, ils auront suivi des études en commerce, gestion, finance ou même administration des entreprises.
Si les IAE (Instituts d'administration des entreprises) proposent de nombreux cursus, les écoles de comptabilité et gestion ou les écoles de commerce restent une voie royale pour se lancer dans la gestion de fortune privée. Souvent prestigieux, ces établissements délivrent des formations d'excellence de niveau bac+3 à bac+5. Nombre de mastères spécialisés ou MBA intègrent alors des stages, voire des parcours de formation en alternance.
Les débouchés abondent pour les futurs experts de la gestion patrimoniale. Si les cabinets de gestion de patrimoine se taillent la part du lion, banques privées et assureurs figurent aussi au rang des potentiels recruteurs. Le gérant de fortune peut alors faire le choix du salariat comme travailler à son compte après avoir acquis un portefeuille suffisamment conséquent.
Le conseiller financier indépendant perçoit une rémunération variable mêlant honoraires, commissions et pourcentage du patrimoine géré. Des primes s'agrègent également aux émoluments du salarié. En moyenne, toutefois, un gestionnaire salarié débutant touche environ 2500 € nets mensuels. En cours de carrière, sa rémunération peut grimper jusqu'à 5000 € nets, hors commissions. Sa réputation établie, le conseiller en gestion de fortune peut évoluer vers un poste de directeur de service. Il lui est également envisageable de se réorienter en tant que responsable clientèle.
Le gestionnaire de fortune se charge d'optimiser le patrimoine financier d'une clientèle de particuliers aisés. Son rôle de conseiller de confiance exige donc des compétences techniques aiguisées. MBA ESG vous propose un MBA gestion de patrimoines conjuguant expertise en patrimoine financier et immobilier et approche commerciale pointue. En formation continue ou en alternance, ce titre certifié vous délivre toutes les clés de l'ingénierie patrimoniale afin de mieux propulser votre carrière.
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